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Station d’essence et béton

Vent debout avec un petit vent, 31,5° et l’eau est à 19°.

Avant de partir, Patrick a fait des courses pour bricoler des petites astuces « grand confort » avec des bouts, mousquetons etc.

Nous passons en plein milieu d’un espace réservé à la pêche aquacole, mais heureusement n’est pas en fonction. À partir de Lisbonne nous en avons vu beaucoup qui recouvrent d’énormes espaces. Ces fermes sont la hantise des voiliers qui risquent de se retrouver pendant un nav de nuit, à l’intérieur de ces fermes, dans un vrai labyrinthe de filets maintenus pas des milliers de bouées.

Tout petit vent suivi de pétole. Moteur.

Nous longeons une côte avec des immeubles à touche touche. Nous arriverons à Fuengirola, ville balnéaire sans charme, sans intérêt, sans poésie, avec que des immeubles en béton accompagné d’un brouhaha bruyant et odeur de Nivea venant de la plage. Le seul intérêt que nous y trouvons est la station d’essence.

Nous jetons l’ancre à un endroit bien abrité. L’eau est à 23°