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Un plumeau sur la liste des courses

En route vers Eivissa. Nous avons beaucoup aimé ce mouillage au pied des falaises où il n’y avait que 5 bateaux au mouillage. Les « autres » préfèrent mouiller là où il y a une plage. Les trois bikinis d’Astrid sèchent sur le bateau. Les falaises sont formées de couches géologiques horizontales rouge et beige alternées de roches tendres et dures.

Pour les petits détails du quotidien, le pain perdu est parfait quand le frigo est presque vide et qu’il n’y a pratiquement plus rien à manger. Il vaut également mieux diviser par deux la quantité indiquée dans la recette.

Le bateau est couvert de poussière du Sahara, à l’intérieur et même sur les voiles. Il va falloir que j’achète un plumeau pour dépoussiérer tout cela.

Une fois arrivé à Eivissa, on accoste sur un ponton du port. Le gardien vient nous voir furieux parce que nous ne lui avons pas demandé par téléphone la permission d’accoster. Il nous demande sèchement de repartir dans la seconde. 20120907-224713On contourne le port très énervé et jetons l’ancre dans la baie juste derrière. Ici il faut visiblement réserver d’avance et pour l’eau, les robinets sont ouverts uniquement entre 12:00 et 14:00. Il fallait le savoir….

Visite de la ville pleine de charme mais très touristique et avec une population locale très peu aimable. Joli rempart et cathédrale au sommet de la colline. J’ai entendu deux coqs chanter. Quelques bâtiments datent du roi Aragon, mais nous n’avons pas vu de trace du roi norvégien Sigurd Ier.

Le soir il y avait toujours plusieurs places de libre sur notre fameux ponton….

Situation actuelle