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Le gâteau « Marco Polo » de Korčula

Mouillage à l’est de l’île de Korčula. Le « č » se prononce « ts ». Bouées payantes à disposition, ce qui est un vrai confort.

Deux dauphins nous accompagnent un moment

Direction vers le nord pour passer le cap de l’île et nous filons vers le port de Korčula.

La vieille ville de Korčula

Nous avons eu un coup de cœur pour la citadelle qui certes est aussi abandonnée que Dubrovnik, mais est moins envahie par les touristes. Je suis étonnée de voir qu’il n’y a quasiment que des touristes américains.

Tourelle pour se défendre contre les ottomans

Marco Polo d’après les locaux serait né ici. Venise se bagarre le monopole de cette naissance. Personnellement je pense qu’il y a pas mal de marketing derrière Marco Polo parce qu’ici il y a des inclinaisons interminables avec le nom Marco Polo.

La cathédrale romane

Le guide du Routard nous a indiqué une petite pâtisserie en dehors de la citadelle. Ne sachant pas quel pâtisserie choisir nous avons pris une de chaque, J’ai préféré le Marco Polo qui était aux amandes et chocolat.

Le tarif de la marina pour une nuit nous a un peu choqué, 220€! Je ne sais pas s’ils ont fait leur calcul d’après la tête du skipper, la longueur du bateau, la largeur ou les trois coques…

Le monastère sur l’île Otočić Badija

Le lendemain on mouille pas loin de Korčula à Otočić Badija (Google Maps) occupé par un monastère franscicain construit au 14 ème siècle. Détruit par les Ottomans, puis reconstruit. Les moines furent chassés par les communiste en 1945. En 2003 l’Etat rends le monastère aux franscicains, mais qui ne reviendrons pas. Le bâtiment s’est transformé en un un lieu de retraite hôtellerie l’été.

L’église baroque à l’abandon

Le matin, baignade sous une température qui a baissé légèrement. L’automne s’annonce discrètement … Le soleil et Mr Pétole, nous ont suivi tout le long en Croatie, cependant la pluie s’annonce pour notre retour à Monténégro.

Mouillage l’après-midi au sud du port de Lumbarda, région de vignobles.

Promenade à pied à l’intérieur des terres et du port de Lumbarda avec son labyrinthe de ruelles piétonnes se faufilant entre les petites maisons au gré des besoins.

Nous avons besoin de remplacer notre bonbonne de gaz de réserve qui est vide. J’ai peur d’être à court de gaz avec la bonbonne qui nous reste. Malheureusement nous n’en trouvons pas dans les supérettes que nous croisons. Pour sécuriser les futures repas je fait des économies de cuisson avec la technique de la marmite norvégienne.

Pour économiser le gaz, la technique de la marmite norvégienne marche très bien. Il suffit de garder la casserole sur le feu jusqu’à ce que l’eau ou les aliments se mettent à bouillir, puis retirer la casserole du feu en l’isolant avec des torchons. J’ai fait des spaghettis et œufs dures avec succès. J’ai aussi mis pour une meilleure isolation une casserole dans une plus grande puis les torchons.

Pour les économes, la marmite norvégienne

Mouillage sur une île près de la péninsule Pljesac près de Dubrovnik pour pouvoir passer le lendemain matin la douane croate.

Après la douane, Patrick branche le radar AIS pour bien montrer à la douane que nous ne sommes pas passés à l’intérieur des îles, comme il nous avait demandé.

By by la Croatie, à l’année prochaine.

La barre endommagée lors de la tempête a Tivat, Monténégro

Le dernier jour nous louons une voiture pour visiter le monastère d’Ostrog à l’intérieur du pays, qui est un lieu très populaire de pèlerinage pour y vénérer Saint Basile.

Monastère d’Ostrog du XVII ème siècle
Pèlerins s’instalent pour y passer la nuit